Phase 1* : Résidence prospective pour 6 artistes (4 de Montréal, 2 de Toronto, mai 2024) avec Etienne Zack, , David Gagnon, Ed Pien, Johannes Zits, En mai 2024, les artistes participant à ce projet de résidence prospective auront l'occasion unique de s'immerger dans la riche tapisserie culturelle et artistique de la ville d'Oaxaca. L'objectif de cette résidence est de leur fournir l'inspiration et les ressources nécessaires pour poursuivre leurs projets au-delà des dates prévues pour la première phase.
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Depuis la fin des années 90, le directeur de Cache Studio, Eric Bertrand, a développé un réseau de collaborateurs au Mexique et à Oaxaca, y compris des individus et des institutions qui sont devenus des agents de transformation dans le monde de l'art d'Oaxaca et de Mexico. De plus, avec l'aide de Demian Flores et de son organisation La Curtiduria, nous pouvons maintenant fournir à nos artistes collaborateurs un vaste réseau d'artistes, de conservateurs, d'artisans, d'écrivains, de collectionneurs et d'institutions importants à Mexico et à Oaxaca. Nous pouvons ainsi leur offrir une expérience sur mesure afin qu'ils puissent imaginer, concevoir et réaliser des projets intégraux sur place, de leur conception à leur exposition à un public d'amateurs et de spécialistes. Oaxaca est reconnue depuis plusieurs décennies pour l'importance de ses contributions au panorama artistique de l'Amérique latine. Ces dernières années, la ville est devenue un lieu très recherché par les artistes de la scène contemporaine internationale. La spécificité singulière de la tradition artistique moderne et contemporaine, en gestation depuis le milieu du XXe siècle, continue de donner lieu à des collaborations, des projets et des œuvres ingénieuses qui surprennent par la pertinence et l'innovation de leurs propositions.
Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
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Cette première incursion dans les projets de résidence artistique s'inscrit dans un programme à long terme d'échanges récurrents avec le Mexique et éventuellement avec d'autres villes qui ont déjà commencé à établir des contacts (Los Angeles, La Havane, par exemple). Il s'agit également de la mise en place d'une plateforme en ligne, créée au sein du site web de la galerie, à travers laquelle nous pourrions échanger des ressources pour servir, au-delà de ce projet, d'archive et de plateforme interactive de promotion et de vente permettant au grand public de suivre nos activités et d'acheter les œuvres des artistes collaborateurs. Nous avons l'intention d'allouer une partie substantielle du budget des phases I et II (voir ci-dessous) de cette résidence à la création de cette plateforme en ligne.
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Cette première incursion dans les projets de résidence artistique s'inscrit dans un programme à long terme d'échanges récurrents avec le Mexique et éventuellement avec d'autres villes qui ont déjà commencé à établir des contacts (Los Angeles, La Havane, par exemple). Il s'agit également de la mise en place d'une plateforme en ligne, créée au sein du site web de la galerie, à travers laquelle nous pourrions échanger des ressources pour servir, au-delà de ce projet, d'archive et de plateforme interactive de promotion et de vente permettant au grand public de suivre nos activités et d'acheter les œuvres des artistes collaborateurs. Nous avons l'intention d'allouer une partie substantielle du budget des phases I et II (voir ci-dessous) de cette résidence à la création de cette plateforme en ligne.
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La participation d'artistes locaux, appelés à collaborer avec des artistes participants, invoque la nécessité de réfléchir à la modalité de cette collaboration afin d'assurer une relation équitable entre artistes et artistes, d'autant plus complexe que les échanges entre artistes canadiens et artistes locaux mexicains impliquent également des variables géopolitiques. Monica Castilo est une artiste mexicaine qui s'intéresse aux thèmes liés à la valeur associée au statut social de l'artiste et à l'impact que celui-ci peut avoir sur la distribution des bénéfices symboliques et financiers découlant des collaborations entre artistes et artisans ou autres travailleurs culturels auxquels on ne se réfère pas en utilisant le mot artiste mais qui ajoutent à la valeur de l'expérience. Elle a accepté de collaborer avec nous dans le cadre de cette résidence, agissant en tant que médiatrice culturelle pour s'assurer que ces relations restent aussi équitables que possible.
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La phase I* du projet d'échange fait l'objet d'une demande de subvention auprès du volet " amorçage " du Fonds d'investissement stratégique du Conseil des Arts du Canada. Bien que ce projet fasse partie des activités de Cache Studio, celles-ci ne sont pas incluses dans le budget couvert par cette demande.
Description du cours
Sous la forme d’une démonstration, l’artiste Rosalie Gamache présentera toutes les étapes de la technique du marouflage, de la préparation du support jusqu’à l’application de l’enduit final. Le marouflage, qui consiste à coller un matériau léger et souple sur un support plus solide et rigide, permet d’obtenir des supports stables et de grande qualité pour la peinture à l’huile. Durant la formation, l’artiste fera la démonstration des techniques de marouflage à la colle de peau de lapin et à la colle polyvinylique en les appliquant à diverses combinaisons de matériaux, tels que le coton sur bois, le papier sur coton et le polyester sur bois.
Cette formation pratique est d’une durée de 3 heures et coûte 50 $ par personne. Les places
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A Propos de Rosalie Gamache
Rosalie Gamache est une artiste qui vit et travaille entre Montréal et Québec. En 2013, elle étudie en Italie à la Florence Classical Art Academy, une école russe de beaux-arts. Elle s’initie alors à la peinture à l’huile et y parfait sa maîtrise de la représentation de la figure humaine. À son retour au pays en 2014, elle s’installe à Québec et perfectionne sa technique de peinture grâce à un mentorat privé à l’Académie des beaux-arts de Québec avec l’artiste Denis Jacques. En parallèle, elle obtient un baccalauréat en arts visuels et médiatiques à l’Université Laval qu’elle complète d’une session d’études à l’École supérieure d’art et de design de Marseille-Méditérranée. Son parcours singulier, à mi-chemin entre les beaux-arts et l’art contemporain, l’amène à développer une démarche qui réactualise le médium de la peinture en revisitant de façon intime le portrait et la nature morte. Passionnée par l’histoire de la peinture à l’huile et ses techniques, Rosalie Gamache porte une attention particulière au respect et à la transmission des techniques anciennes avec lesquelles elle travaille. sont limitées.